Sexe brutal
Chaque jour de nouvelles souffrances pour jouir enfin !
Je suis nouvelle à l'hopital. je commence aujourd"hui mon stage d'infirmière.
Je dois avouer que je suis un peu perdu dans ce grand établissement où tout le monde semble se connaître.
Personne ne vient m'apporter de l'aide ou du réconfort jusqu'à ce que ce groupe de jeunes médecins m'informe que je dois accepter le bizutage qu'il m'ordonne pour être admise dans le groupe.
Je suis plus que réticente, mais si je ne plie pas, je ne serais jamais intégrée dans l'équipe...
C'est comme ça que je me retrouve allongé sur ce lit, un peu stupide sans mon panlalon...
J'ai peur.
Je suis térrorisée.
Je sens mon coeur s'emballer et battre du cent à l'heure dans ma poitrine.
Les hommes se serrent autour de moi lorsqu'une infirmière vient m'aggriper fermement. Elle m'attache sur le lit et m'enfonce une boule dans la bouche pour m'empêcher de crier.
Mes vêtements sont arrachés avec une brutalité inouïe.
Je me retrouve entièrement nue, offerte à tous les regards dans ma plus totale intimité.
Je sens que je vais défaillir lorsque l'on me tire par les cheveux pour me tourner sur le ventre.
Que vont-ils faire de moi?
Tous mes muscles se crispent de térreur.
Il y a ce docteur qui paraissait si sympathique, maintenant métamorphosé, qui écarte les lèvres de mon sexe pour pénétrer mon vagin de ses doigts impatients.
Puis qui force le passage de mon anus en l'agrandissant sans se préoccuper de la douleur qui parcoure mes entrailles...
Il voit les larmes couler sur mon visage.
Il enlève la boule de ma bouche pour m'entendre sanglotter.
Ca l'amuse. Comme ses collègues qui commentent abondamment mon horrible agression sexuelle...
Je suis attachée différemment, les cuisses ouvertes.
Je me sens offerte à toutes les convoitises malsaines, vicieuses.
Et je me rends compte rapidement que c'est bien le cas !
C'est la honte de ma vie de me faire pénétrer et maltraiter devant tous ces médecins et ces infirmières qui ne perdent pas une miette de ma déchéance.
Je comprends trop vite pourquoi quelqu'un m'enfonce un mord dans la bouche.
Je hurle lorsque la cire me brûle le ventre, mais aucun son ne sort d'entre mes lèvres.
Et je ne peux pas bouger, je suis littérallement soudée au lit par les liens qui serrent davantage ma peau à chacun de mes mouvements.
Et puis, il y a ce gode manipulé par une jeune femme et qui qui va et vient de plus en plus frénétiquement dans mon anus.
Et ces pinces qui écartent démesurément les lèvres de mon sexe brûlant, laissant apercevoir le trou béant du plus intime de ma féminité.
Maintenant, ils me positionnent pour pouvoir prendre leur plaisir en moi selon leurs convenance.
Même si je le pouvais, je suis trop anéantie pour pouvoir me rebeller et je me laisse posséder comme une putain.
Ca fait une éternité que je subis leurs assauts furieux, que je leur sers de défouloir.
Je ne sais plus combien de sexe d'hommes m'ont labouré le vagin et l'anus, combien ont déchargé leur semense en moi.
Je suis totalement épuisée et incapable d'autre chose que d'accepter encore et encore les pénétration bestiales de mes tortionnaires.
J'ai peur que ce ne soit pas prèt de se terminer...
Derniers Commentaires