Nous sommes entrés en formation le même jour et nous avons rapidement sympathisés.

Elle a laissée son copain et moi ma femme à la maison car nous habitons un peu loin de chez nous.

Certains soirs nous nous retrouvons à réviser nos cours dans la chambre de l'un ou de l'autre que nous avons dû prendre en ville pour le temps de la formation.

Le problème est  que ma collègue passe son temps à m'allumer et je sens bien que ma libido en prent un sacré coup ! Je n'ai plus qu'une envie : me la taper !

Arrive le moment où je n'ai plus la possibilité de réfréner mes ardeurs sexuelles...

Alors, déception immence, c'est à ce moment qu'elle fait la pétasse qui se refuse à mes avances en faisant des tonnes de manières...

Moi, je sais que cette salope a envie de se faire niquer par moi.

D'ailleurs lorsque je la dépoitraille, elle ne proteste que par principe.

Elle se rebelle pour pouvoir pleurnicher qu'elle n'est pas fautive, qu'elle trompe son mec malgrès elle...

Lorsque le plaisir monte en elle, parcoure ses intimité de femelle, elle cesse de geindre pour respirer plus fort en poussant de petits cris de jouissance.

Elle halète encore sur l'honnêteté due à son copain, la bonne éducation donnée par ses parents, son besoin de fidélité, mais n'y croit plus...

Lorsque j'enfoncé mon sexe dans sa bouche, elle se met à pomper ardemment après que je l'ai forçée un peu à le faire quant même...

Puis arrive le meilleur moment : celui de la niquer enfin.

      Elle ne se laisse pas faire, la pute, je dois la maitriser brutalement pour pouvoir parvenir à mes fins !

Pour la punir, je la veux par son cul !

Je lui mets ses fesses à l'air. Je les positionne au mieux... Je découvre son anus serré...

Je me ravise : le moment n'est pas encore venu : d'abord je vais fourrer sa chatte. 

Lorsque j'ai bien baisé sa chatte, je m'attaque à son anus.

Son trou du cul est tellement serré que je dois forcer le passage somme un sauvage, en ignorant ses nouvelles plaintes et en l'empêchant fermement de se rebeller.

J'aime particulièrement labourer son petit cul étroit qui tente ostinémentde résister à chacun de mes coups de boutoir.

Je m'en claque furieusement mes couilles contre ses fesses qui rougissent un peu plus à chaque fois. 

Je la positionne différemment de temps à autres pour aller plus profond encore dans son fondement, pour violer au maximum son intimité de femelle vicieuse.

Je retarde le plus possible mon éjaculation pour prendre encore et encore du plaisir.

Lorsque je n'en peux plus je me libère à grands jets dans sa bouche à sa grande stupéfaction. 

A demi nue, ses vêtements déchirés, elle s'enfuit comme une gamine apeurée de sa propre chambre pour se réfugier dans le couloir.

Je la vois recroquevillée contre le mur, à demi à poil, secouée de sanglot de honte et de rage, au risque de croiser des voisins. 

Au bout d'un quart d'heure elle revient toute penaude, les yeux baissés, et me dit d'une petite voix de fille soumise : 

- Tu sais j'ai bien aimé ce que tu m'a fait. Et j'aimerais que tu remette ça sitôt que tu le veux...