Non, vraiment, je ne sais pas comment je me retrouve là.

J'assurais le service au comptoir comme d'habitude.

 Et je me suis réveillée comme ça, allongée dans cet endoit obscur et terrifiant.

La première chose que j'ai vu en tournant la tête c'est cette fille nue accroupie dans une cage de fer, enfermée, une laisse autour du cou.

Une folle terreur m'a envahie toute entière.

Dans la demi pénombre de cet endroit inconnu de moi, je ne pouvais apercevoir les traits de la jeune prisonnière, mais je devinait la souffrance qu'elle subissait depuis des heures...

Puis il y a eu cet inconnu qui s'est approché. Il a commencé à me caresser, à explorer mon corps. Il a écrasé mes seins, entré brutalement des doigts dans mon sexe, puis entre mes fesses dans l'orifice fermé de mon anus.

Tout d'abord avec douceur, mais très rapidement avec une sauvagerie qui me faisait pousser des hurlements étouffés dans cette boule qu'il avait enfoncée dans ma bouche.

Il est allée chercher celle qu'il nommait son esclave en la tirant par sa laisse.

Ils me sont montés dessus pour martiriser mes seins, exciter mon clitoris... 

Il a forcé l'esclave à faire ce qu'il exigeait d'elle.

La pauvre fille ne savait qu'accepter toutes ses demandes, jusqu'aux plus perverses, les plus humiliantes.

La peur m'envahis à l'idée que je pourrais devenir comme cette chose, un jouet sexuel maso.

Il ne m'a pas demandé mon avis lorsqu'il a entré de force sa bite dans ma bouche, forcant brutalement le passage de mes lèvres fermées.

Lorsqu'il m'a entrainée sur cet appareil de torture, j'ai tout de suite compris que j'étast à mon tour devenu sa chose sexuelle et qu'il s'apprétait à me violer sans pitié, sans s'occuper de mes mouvements désespérés de révolte.

Toute mon intimité de jeune femme était offerte à ses penchants sadiques et je ne pouvais rien faire pour empêcher l'irréparable de se produire!

La pénétration a été sauvage et douloureuse.

Sa grosse bite a commencé à déchirer alternativement mon vagin et mes entrailles par l'étroit passage de mon anus.

 Chaque coup de rein du mec propulsait son pieu de plus en plus profondément en moi, m'arrachant des cris de douleur.

Puis c'est l'esclave qu'il fit grimper sur moi pour la posséder à son tour.

La malheureuse jeune femme tremblait de tout son corps contre moi pendant qu'il la sautait avec encore plus de bestialité.

Après s'être vidé les couilles une première fois dans sa chatte, il l'a repoussée sans ménagement et m'a attaché sur le dos, les jambes écartées, le sexe offert...

J'étais morte de peur en voyant le maitre et l'esclave approcher...

C'est alors que l'homme est devenu encore plus pervers, repoussant toutes les limites de l'humiliation et des brutalités sexuelles.

Je me retrouvait tellement dominée, souillée, que je ne me rendais plus vraiment compte de tout ce que je subissait comme outrages sexuels...

C'est à ce moment là, je crois, que je suis devenue une moins que rien, une simple femelle soumise aux caprices les plus vils de détraqués sexuels...

Il s'est vidé plusieurs fois dans mes orifices en poussant des cris rauques de jouissance, en accentuant ma souffrances par des actes de tortures terrifiants.

Le pire de l'affaire c'est que j'aime ça.

Par ces perversions immondes, je parviens enfin à jouir comme une véritable pute de caniveau...