J'ai récupéré cette fille sur internet et nous avons convenu de passer le week end chez moi. 

Elle est adepte du sexe déviant et ne conçoit la baise qu'à travers la soumission à l'homme et la jouissance dans la brutalité et l'humiliation. 

J'en profite totalement, exagérément pour les faire subir les pires sévices sexuels que peut supporter une femme.

J'utilise au mieux les deux jours pour en faire une moins que rien amené à accepter les plus atroces perversions sexuelles sans qu'elle se permette de se plaindre. 

Elle subit mes assauts furieux sans chercher à se rebeller, en bonne garce maso acceptant tout pour satisfaire son tortionnaire. 

Jouit-elle ou souffre-t-elle ? Je n'en sais rien.

Et je m'en fout complètement... 

Le soir venu après une journée complète de brutalités sexuelles, il a bien fallu que je la nettoie à grandes eaux afin qu'elle soit propre pour le lendemain. 

 J'ai voulu qu'elle me vide le peu qu'il me restait dans les couilles.

J'en ai profité pour lui défoncer la gorge à grands coups de bite. 

 Ensuite je l'ai mise dans sa cage pour la nuit. 

 Avant de la laisser reprendre des forces, j'ai exigé qu'elle aussi se vide de toutes substences. 

Elle a dû se branler pour évaculer le peu de foutre que son vagin violenté pouvait encore produire.  

Et au matin, à la première heure, j'étais de nouveau en forme pour attaquer encore plus fort la femelle soumise. 

La journée promettait d'être longue et particulièrement passionnante. 

 Au soir de ce second jour, j'ai ordonné à la salope de se tenir à ma disposition pour un prochain week end lorsque j'aurais besoin d'elle.

Elle était trop épuisée et abimée sexuellement pour me répondre, mais je sais qu'elle accourera lorsque je lui commanderai.