Il est actuellement dix sept heures, je rentre du boulot., j’ai passé ma journée à penser à elle.

Je suis seul à la maison ce soir et je veux en profiter.

Alors je franchis le seuil de ma maison, je monte les escaliers, j’ouvre la porte de ma chambre, balance mes affaires et j’allume mon ordinateur, je veux vérifier mes mails car j’ai un rendez-vous important avec une femme de 45 ans.

Elle aime les rencontres avec des inconnus autant que je déteste les femmes trop sages. J’ai tellement envie d’essayer le sexe basé sur la domination, j’en ai toujours rêvé.

  Je me rends au lieu de rendez-vous, en plein centre ville. 

J’arrive à pied, je me dirige vers l’adresse indiquée, c’est une grande maison de riche, on dirait presque un manoir.

La nuit va bientôt tomber il est dix huit heures .

Je range mon baladeur, je suis en train d'écouter les dernier hit.

En entrant dans la cour de l'immeuble, je ressent le genre de sensation que j'éprouve lorsque je vais engager une nouvelle relation sexuelle...

J’avance vers cette grande porte faite par un artiste sans doute, un tailleur très doué.

Je sonne et une femme, belle, vient m’ouvrir.

C’est elle, la femme que j’ai contactée par mail, elle s’appelle Caroline, elle est vraiment attirante pour son âge, bien que quarante cinq ans ne soit pas si âgé. 

Elle me fait découvrir les lieux et j’hallucine, c’est vraiment immense, très luxueux …

Ma future esclave m’emmène à travers plusieurs pièces et arrive dans une chambre où elle pratique le sm avec des inconnus qu'elle attire par internet.

Il y a un gand, des appareils sadomaso, des cordes, des crochet aux murs et au plafond... 

Caroline est belle, elle a de vraies formes de femelle, j’aime ça … Je vais en rêver tous les jours.

Elle a de gros seins en guise de cadeau de la nature, comme pour lui enlever le fait quelle ne soit plus toute jeune.

Elle me fait craquer, je lui dis que j’ai de la chance de l’avoir comme esclave et qu’elle va réaliser tous mes plus gros vices sexuels.

Caroline me montre ses jouets, des cravaches, des godes, des canards vibrants, des ceintures en cuir, des anguilles, une corde pour le bondage et des trucs plus impressionnant les uns que les autres.

 C’est une femme qui cache bien son jeu, je sens que je vais aimer la dominer cette salope. 

Elle commence à me dire qu’elle veut que je lui fasse du mal, alors je commence à lui dire de se déshabiller, s’exécutant à merveille je lui ordonne d’accrocher ses mains aux anneaux qui tiennent grâce au plafond.

Caroline est nue.

Je prends la cravache, je lui caresse son ventre, lui flatte sa petite chatte avec délicatesse pour lui donner envie.

  Puis je donne les premiers coups sur la cuisse droite, puis sur la gauche. 

Je remonte les coups de plus en plus appuyés vers son ventre, vers sa fente de femelle. Je monte encore vers ses seins.

Je frappe sur chaque mamelle, plus précisément sur les tétons. 

J’en viens à venir les mordre tellement ils m’appellent !

Je les griffe, ses gros seins, comme je griffe son corps, son ventre.

 Puis commençant à titiller ses tétons assez fortement, mon esclave gémit de plaisir, alors je la frappe lui disant que c’est moi qui décide de son temps de jouissance.

Je la jette sur le lit. Elle s'étalle en écartant machinalement les cuisses, dévoillant sa chatte entrouverte.

Je prends les cordes pour lui attacher ses mains, je sais qu’elle va vouloir se débattre à cause du plaisir trop fort.

Elle est nue, j’admire ses formes, je les aime tellement que je me retiens de jouir dans mon pantalon.

Je le baisse, je me retrouve nu. Je prends un gros god démesuré et je le place sur la vulve de Caroline.

C'est un de ces engins électriques qui torture sadiquement les intimités.

Je le règle au plus bas pour commencer les hostilités, histoire de monter dans le plaisir et peut-être la douleur.

  Elle tente de se cambrer, mais les cordes l’empêchent de le faire ce qui augmente son désir pervers.

Je mets ma langue en même temps que l'engin dans son orifice de femelle. Mon rythme est très rapide, de temps à autres je mordille la chaire tendre, le bouton du clito. Je titille en même temps que je griffe son corps.

Je ralentis ma cadence et je lui enfile deux doigts dans sa petite minette qui commence à bien mouiller, je sens qu’elle aime ça et qu’elle ne pourra pas s’en passer.

Mon regard se porte maintenant sur un autre gode tellement gros que je me demande si ma queue est de taille normale. Même si le regard noyé de Caroline a l’air de l’apprécier. 

Cette salope n’attend que ça, que je prenne cet engin et que je lui enfonce dans son intimité bien trempée.

Le gode commence à rentrer petit à petit. Il est gros, elle aime ça.

Surtout qu'il lui apporte une nouvelle jouissance douloureuse.

Je l'enfonce encore plus profond et force encore la passage pour y mettre ma bite...

Je ramone le trou sévèrement sans m'occuper de la respiration de cette pétasse qui s'accélère, de ses seins qui se soulèvent de plus en plus vite, de ses cuisses qui se crispent, de ses cris de douleur...

Elle commence à hurler, à couiner.

J'accélère encore mes va-et-vient. Je cogne de plus en plus profond.

Je la maintiens afin qu’elle comprenne que je n’en ai pas fini, loin de la.

Je retire le god, le lance à travers la pièce. Je positionne la salope et j'enfile ma queue dans le trou étroit de son cul.

Elle la voulait en elle, ma bite. Elle l'a, dans tous ses trous. Elle mouille tellement qu’elle ne sentirait même pas que je sperme. 

Je la défonce comme je n’ai jamais défoncé une femme, pas même la pire des salopes.

J’agrippe ses deux seins, je les serre très fortement de mes mains, c’est si bon.

Je commence à vouloir éjaculer mais c’est avec obstination que ma bite veut le contraire.

Je continue donc encore mes déplacements dans son cul serré et dans son vagin humide. 

Caroline commence à vouloir autre chose.

Je le sens, elle tente d’enlever ses mains des attaches.

 Je lui présente ma queue contre ses lèvres.

Elle ouvre la bouche pour la sucer.

C’est alors que je m’aperçois de ses réels talents, même dans une position peu confortable, elle sait s’y prendre.

Je peux lui remplir sa bouche de mon jus !