C'est le genre de fille complètement conne qui croit vraiment qu'elle pourra faire carrière dans le monde artistique.

Elle a posé des annonces sur internet pour trouver un job artistique.

j'ai répondu. je l'ai convoquée dans un local désaffecté.

Et j'ai continué à lui faire croire ce qu'elle veut entendre.

Puis est rapidement venu le moment de passer aux choses sérieuses.

je lui explique ce que je veux d'elle.

Elle est horrifié d'entre mes paroles salaces et dérangeantes.

je m'empare empare d'elle alors qu'elle ne sait comment réagir.

Je la jete sauvagement au sol dans la pièce crade derrière et je la fout  à moitié à poil en arrachant sans manière ses vêtements à la mode.

Pour qu'elle marine dans son angoisse, je l'enchaine au mur et je la laisse quelques heures, seule , abandonnée à son sort

Je lui promets que si elle se branle je la laisse partir.

La conne me crois encore.

je l'observe se faire du bien avec une frénésie croissante à mesure que l'excitation monte en elle.

Mais je l'arrête avant qu'elle jouisse...

C'est trop bon de l'enfiler par derrière.

Je bourre sa chatte, je la ramone furieusement

Suce, salope. Suce mieux que ça. Bravo, tu commence à mieux faire. Mais continue...

Je veux que tu avales mes premiers jets de sperme.

Tu vas devoir me vider les couilles...

Elle me fait beaucoup d'effet, la pétasse, et j'ai trop envie de lui en remettre un bon coup dans son trou trempé de femelle à disposition...

J'ai eu ce que je voulais.

Cependant je ne peux me résoudre à la laisser partir.

Je l'attache pour reprendre un peu de vigueur.

La salope est soumise et attend son sort avec résignation.

A moins qu'elle aime ça, être soumise et possédée salement ?

Au bout d'une heure environ je reviens...

Cette fois je l'allonge sur le ventre, les fesses offertes...

Je veut lui fister son petit cul.

Je crache sur son anus pour le lubrifier un peu.

ET puis je force le passage de mon poing.

Je dois insister fortement pour que ça s'ouvre.

La femelle pleure, supplie que j'arrêter, hurle sa douleur.

Enfin je passe véritablement le barrage et j'enfonce ma main entière dans son cul brûlant de souffrance. 

Lorsque je ai bien dilaté l'anus, j'entre ma bite dans le trou béant.

Je m'enfonce comme dans du beurre !

La baise se poursuit longuement.

Je prend mon temps pour la posséder à fond, cette salope bien foutu, et très bonne à niquer...

La torture à la cire brûlante est comme la cerise sur le gateau.

Ca peaufine le plaisir que je prends à me la taper

La pétasse n'en peut plus.

Je l'ai épuisée, défoncée.

J'en ai fini avec elle, et elle va pouvoir se tirer. J'en ai bien profité.

Est-ce qu'elle aura encore des rêves stupides de carrière artistique ?...

Est-ce qu'un autre profitera d'elle comme je l'ai fait ?

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