J'ai un voisin sacrément con.

 Un vrai mec chiant qui passe son temps à enquiquiner les autres à propos de tout et de rien.

C'est vraiment le genre de mec sur terre pour emmerder le monde

Un jour en jetant machinalement un sourire à sa femme, j'ai eu la surprise de constater que je ne lui étais pas indifférent.

C'est vrai qu'elle, elle est un peu plus supportable que son homme. même si elle ne se prive pas de faire la pétasse plus souvent qu'à son tour !

Je discute avec ma femme de la possiblilité de draguer le pétasse de voisine, histoire d'humilier le mec en même temps que sa pétasse.

Ma compagne n'est pas emballée, mais pas contre. Alors j'en profite...

La voisine ne se fait prier pour se laisser embobinner et dès notre premier rendez-vous, je la nique comme une moins que rien contre un mur, dans le hall d'entrée de sa maison.

Je ne me casse pas les pieds, à la foutre à poil. Je lève sa pupe, je baisse son slip et je lui rentre ma bite dans sa chatte.

Je la ramone à grands coup de bite et je la force à s'agenouiller pour éjaculer dans sa bouche.

C'est quelques jours après ce premier coup de bite que je me venge vraiment.

J'entre chez elle en profitant de l'absence de son mec et je la trouve dans le séjour.

Plus que surprise, elle panique lorsqu'elle voit que je suis accompagné de pote qui lorgnent déjà sur ses attributs de femelle...

On l'entraîne vite fait dans ma cave, dans la maison voisine

Elle ne se laisse pas attacher facilement.

Mais avec l'aide des potes, je la force à passer les mains dans le dos. Je l'attache solidement, en serrant douloureusement la corde. 

Déjà elle se prend une bite dans la bouche, puis une autre, et une autre.

Elle doit sucer à fond le gosier. 

J'y vais de bon coeur pour la frapper avec une lannière préparée spécialement pour elle.

Ses cris de douleur s'étouffent à chaque coup de queue dans sa bouche.

Lorsqu'on arrête momentamément  de nous faire pomper, la jeune femme est  tellement tétanisée par la stupéfaction et l'angoisse qu'elle ne parvient même pas à se rebeller et se contente de pleurnicher vainement.

Au bout de sa longue punition, je la contreins à s'agenouiller avant de pousser ma bite entre les lèvres de sa chatte serrée.

c'est bon de la ramoner férocement, de la posséder comme une chienne.

Les potes s'occupent comme des sauvages de la salope, lui bourrent les orifices à plusieurs en même temps.

A un moment, je l'oblige à me sucer la queue, en donnant de gros coups de bite pour cogner au fond de son gosier, la faisant suffoquer et pousser des cris de douleur.

On aurait pu en rester là après lui avoir éjaculer dans la bouche, dans sa chatte, dans son cul, en l'obligeant à tout avaler notre sperme par ses trous.

 Mais j'ai décidé de ne pas me satisfaire de si peu.

C'est trop plaisant de la soumettre à nos envies sexuelles, de la dominer honteusement.

Personnellement, à chaque coup de bite dans son ventre, je vois l'image de son mec.

C'est aussi cette tête de con que je j'humilie en possédant salement sa salope de femelle.

J'en rajoute tant que je peux dans la pratique crade que j'impose à cette pouffiasse, histoire qu'elle comprenne bien qui est son maître.

Et je peux dire que rien ne lui est épargné.

Certain que plus jamais, cette salope ne sera la même femme.

En me finissant encore une fois en elle, je lui intime l'ordre de me retrouver dans ma cave dès que je lui en ferai signe dans la rue, au moment que je choisirai.

Dans cette attente, je raconterai sa déchéance à ma femme et nous en rirons bien.