Mercredi 5 septembre 3 05 /09 /Sep 11:07

Ce jour-là, mon maître m’avait ordonné de prendre un jour de congés. Je l’avais fait, et le matin venu, il m’avait réveillé en tirant sur mon collier, avec ces mots :
— Aujourd’hui, tu vas savoir ce que ressent un trou.
— Maître, je suis votre trou, toujours à votre disposition.
— Je n’ai pas dit que c’était moi qui te remplirais. »

 


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Je me raidis, et me sentis mouiller presque aussitôt.

Que comptait-il faire ?

Je m’étais douté que ce ne serait pas anecdotique, pour qu’il prévoie toute une journée. Mais cela ne me donnait aucun détail.

 
Il choisit ma tenue pour la journée. De la lingerie, uniquement. Un string, un porte-jarretelles assorti, une paire de bas noirs, et des chaussures talons très hauts, qui se fermaient autour de la cheville. Il m’ordonna aussi de me maquiller – ce qui n’arrive presque jamais.

 
Il m’ordonna de le sucer, et m’arrêta avant de jouir. Le sexe dans ma bouche, il me parla, en me regardant dans les yeux.

 
— Quand nous en avons parlé, il y a un moment, tu m’as dit que je pourrais te faire sucer un autre homme. Et tu l’as fait, plusieurs fois. Toujours à des moments où tu ne t’y attendais pas. Aujourd’hui, tu vas t’y attendre. Tu vas passer la journée à sucer.

 
La journée ? Oh mon Dieu… comment ? Tant de questions me venaient à l’esprit, j’avais peur… et, oui, d’accord, j’étais excitée. Mon corps appartenait à mon maître, c’était acquis depuis longtemps. Et si mon maître avait envie de prêter ma bouche, j’étais heureuse de lui faire plaisir.

 
— Le problème, continua-t-il, c’était de trouver assez d’hommes à te faire sucer. Et un endroit. Enfin, ça, c’était assez simple. Tu vas passer la journée à la cave.

 
Nous vivons dans un immeuble parisien assez typique, avec un sous-sol de caves. A l’ancienne, avec un sol en terre, et assez exigües. Je savais que mon maître y avait déjà placé des anneaux et autres fixations, puisqu’il m’y avait déjà attachée et utilisée. Mais bien sûr, cela laissait une question.

 


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— Hier, expliqua mon maître, j’ai placé cinquante flyers sur des voitures du quartier. Comme celui-ci.

 
Il m’en tendit un. Je frémis. Une photo de moi, attachée, les yeux bandés, à genoux les cuisses écartées, bouche ouverte, le visage couvert de sperme. Avec la légende :
« Pipe gratuite – Nathalie vous attend » puis les instructions pour arriver jusqu’à notre cave. Le verso annonçait que toute personne qui glissait ceci sous la porte se verrait reçu pour se faire sucer – sans sélection, sans question.

 
J’en avais le vertige. Cinquante ?

 
J’avais peine à y croire. Mon maître me ferait-il vraiment faire une chose pareille, après n’avoir sucé que quelques inconnus, jamais plus d’un à la fois ? Comptait-il vraiment me soumettre à une telle épreuve ?

 
Je n’eus guère le temps d’y penser. Il me glissa un crochet en métal dans l’anus, attacha une chaîne jusqu’à mon collier. Je n’avais pas le choix, je devais rester droite, la tête relevée. Il me fit porter une veste, qui me couvrait les fesses mais pas les bas, et qui n’avait pas de boutons – impossible de la fermer !

Je la tins du mieux possible, au cas où nous croiserions quelqu’un. Mais non. L’ascenseur nous amena au sous-sol, et quand les portes s’ouvrirent, mon maître m’ordonna de me mettre à quatre pattes.

 


 

 

J’obéis, et il me traîna en laisse jusqu’à notre cave.

 
Il en déverrouilla la porte, et me fit entrer. Je vis un coussin par terre, où mon maître me fit m’agenouiller. Il était confortable, et je n’avais pas mal aux genoux. Il prit une barre d’écartement dans un coin de la cave, me l’attacha aux chevilles, en m’écartant beaucoup les jambes, puis fixa cette barre aux anneaux dans le sol.

Mes jambes étaient écartées, mais je ne pouvais pas me lever, ni serrer les genoux. Je me sentais très vulnérable, dans cette position. L’idée d’être présentée ainsi à quiconque passerait était très érotique et très humiliante – ce qui était d’autant plus érotique, pour moi.

 

 


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Attachée là, j’étais peut-être à vingt centimètres de la porte. Mon maître me fit tendre le bras et ouvrir la porte, pour vérifier. Aucun problème. Puis il m’indiqua un coin, devant moi, par terre.

 
— Là, il y a une caméra. Je te regarderai, de temps en temps. Tu devras sucer tous ceux qui viendront te voir, et les laisser jouir où ils veulent. Tu ne dois jamais te cacher, ni te nettoyer, quoi qu’il arrive. Tu ne parles que si on te parle, et toujours avec respect. Tous ceux qui viendront t’utiliser valent mieux que toi. Aujourd’hui, tu n’es qu’une bouche, et tu vas me rendre fier, putain.

— Oui, maître.



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Il prit ma veste, sortit et ferma la porte, sans la verrouiller. Alors commença l’attente.

 
Elle commença, mais ne dura guère. Peut-être cinq minutes plus tard, je vis un des flyers se glisser sous la porte. Je frissonnai et le regardai un instant, jusqu’à ce qu’une voix de l’autre côté me ramène à moi.

 
— Alors ? Il y a quelqu’un ?

 
J’ouvris la porte. Un homme d’une quarantaine d’années, en costume. Un attaché-case à la main, un journal – sans doute allait-il au travail. Quelqu’un du quartier, qui avait tenté sa chance.

 
— Alors ça. Nathalie, j’imagine ?
— Oui, monsieur, c’est moi.
— Et qu’est-ce que tu fais là ?

 
Je supposai qu’il voulait me l’entendre dire. Mon maître me regardait, et je voulais passer cette épreuve. Je voulais lui plaire.

 
— Je suis là pour sucer, monsieur. Voulez-vous que je vous suce ?

 
Il sourit, s’avança, puis ouvrit sa braguette et me mit son sexe sous le nez.

 
— Oui. Suce, vite. J’ai plus important à faire.
Voilà, tout était dit. J’ouvris la bouche et commençai à le sucer. Je lui caressai les couilles, tout en allant et venant sur son sexe. Il ne dura pas très longtemps, sans doute très excité par la situation. Il se retira, jouit sur mes seins et dit :
— Voilà. Je voulais t’avoir pendant que tu seras encore propre. Pour les autres, tu seras déjà sale. Amuse-toi bien.

 
Il prit mes cheveux, s’essuya dessus et se rhabilla.

 


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À nouveau seule, je commençai à comprendre à quoi ressemblerait le reste de la journée.

Comment un homme pourrait-il arriver ici, me trouver attachée, à moitié nue, mouillée de sperme, et ne pas avoir envie de me dominer à son tour, de m’humilier ? Toute la journée, j’allais subir différentes formes de sévices. Ce serait sans doute une journée épuisante. Mais en même temps… Oui, la situation m’excitait déjà, et mes pensées s’affolaient.

 
Un autre flyer glissa sous la porte. J’ouvris. Le même genre d’homme, mais lui ne dit rien. Il avait le sexe en main, entra et me prit la bouche. Son sexe assez long se glissa jusque dans ma gorge, et il me laissa à peine la place, de temps en temps, de respirer.

Très bientôt, ses saillies énergiques le firent éjaculer dans ma gorge, et il repartit. Je me rendis compte en voyant la porte se fermer qu’il ne m’avait même pas regardée dans les yeux une seule fois, et je sentis mon vagin se serrer.

 


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Il y en eut d’autres. Je ne les comptai pas.

Ils jouirent sur mon visage, sur mes seins, souvent dans ma gorge.

 

 

 

Certains me dire de laisser leur sperme couler de ma bouche sur mes seins.

Certains jouirent dans mes cheveux.

Un ou deux se masturbèrent devant moi, la plupart se firent sucer.

Quelques-uns me baisèrent la bouche, forte, vite, en m’insultant. Ils essayaient de me couvrir de honte, et pas seulement de sperme.

Cela m’excita à chaque fois, et je pensais à mon maître, qui me regardait peut-être.

Un groupe de trois adolescents arriva, à un moment.

 

 

 

Ils arrivèrent en gloussant et en se poussant du coude. Je les aurais sans doute dits vierges. Ou au moins pas très expérimentés. Ils se turent en me voyant, et me regardèrent sans rien dire. L’un d’eux finit par trouver le courage de me toucher le sein. Il le pinça et le tira, ce qui me fit gémir. J’ai les seins sensibles, je suis très facilement excitée quand on les pince, et ils étaient déjà assez durs de tout ce que j’avais subi. Le garçon me lâcha, et s’essuya la main dans mes cheveux. J’était poissée de sperme. Encouragés par ma réaction, les deux autres tendirent le bras pour me toucher. Le premier sortit son sexe en même temps, et commença à se masturber. Les deux autres le bousculèrent, et ils furent bientôt tous les trois devant moi, à s’astiquer. L’un des trois dit :
— Le premier qui lui jute sur la bouche a gagné !
Je ne saurais pas vous dire lequel c’était, mais la course fut serrée. Je les entendis haleter tous les trois, et sentis du sperme m’éclabousser le visage, comme si cela n’allait jamais fini. Je sentis leur semence couler sur mon visage, goutter sur mes cuisses. Je rouvris les yeux, et ils me regardaient en souriant. Puis ils se relayèrent pour se prendre en photo à côté de moi avec leur téléphone. J’allais sans doute faire sensation à la cantine ! Le dernier me pinça de nouveau les seins, et rit à mes gémissements.
— La vache, quelle pute !

 


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Ils partirent sans fermer la porte. Maître m’avait interdit de la fermer si cela se produisait, aussi la laissai-je ouverte, malgré la peur qu’on me trouve. Si quelqu’un venait, mais pas pour moi… ce serait forcément un voisin. Je tendis l’oreille. Des pas approchaient. Je les trouvai bizarres, mais j’étais trop sonnée/excitée/effrayée pour réfléchir vraiment. Quand la personne s’arrêta devant moi, je compris : c’était une femme, en chaussures à talons. Elle resta là à me regarder, et je me vis dans ses yeux. Attachée, presque nue, le visage, les seins, le ventre et les cuisses éclaboussés de sperme. Je repensai au maquillage que mon maître m’avait fait mettre avant de m’amener ici. Il ne devait guère embellir le tableau. Que ce spectacle lui plaise ou non, elle avait forcément conscience que j’étais une traînée. J’étais devenue une traînée pour mon maître, et je sentis un élan de fierté. J’étais si obéissante que je n’avais pas hésité un seul instant à m’avilir de la sorte. Je n’avais pas reculé devant un seul des sexes qui s’étaient tendus vers ma bouche ce jour-là.

 


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Mais l’arrivée de cette femme changeait tout. Je n’étais plus un objet de désir, quelqu’un que mon état pouvait excitée. J’étais la salope, la mauvaise femme, celle qui faisait passer toutes les autres pour des putes. Je sentis la honte monter. Puis elle glissa la main dans sa veste et en tira un flyer ! Elle remonta sa jupe, baissa son collant et sa culotte, et me montra sa chatte impeccablement épilée.
— Tu sais quoi, Nathalie ? Quand j’ai vu ça, je me suis dit que tu étais une pute. Forcément. Mais là, je te vois couverte de foutre, et il n’y a même pas cinq centimes par terre. Alors quoi, tu aimes ça ?

 

 
— Oui, madame. Mon maître m’a ordonné d’être un trou, et je l’aime.
— Ah, je comprends. Une petite soumise, bien sage, une qui mouille sa culotte en faisant ce qu’on lui dit ?
— Oui, madame.
— Très bien. Alors voilà un ordre. Bouffe-moi la moule.

 
Et elle me fourra son sexe sur le visage.

 
Je la léchai du mieux que je pus. J’essayai de glisser ma langue en elle, de lui lécher les lèvres et le clitoris, mais elle recula d’un pas.

 
— Nathalie, tu es sale, tu es couverte du foutre de je ne sais pas combien d’hommes. NE t’approche pas de ma moule. Lèches-moi le clito et fais-moi jouir, un point c’est tout.

 
Je lui demandai pardon, et recommençai, comme elle me l’avait dit. Je la fis jouir en quelques minutes, après quoi elle grogna, et remit sa jupe.

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— Oooh. Paul avait raison, tu es bonne…
Elle prit son sac à main, en sortit une pièce de deux euros et la laissa tomber entre mes genoux, en me regardant dans les yeux.
— Tu as été heureuse et fière de faire ça pour t’amuser ? Et pour amuser ton maître ? Eh bien moi, je dis que tu es une pute à deux euros. Voilà ce que ça m’aura coûté de jouir sur ton nez. Je me fous que tu aies aimé ou pas, j’ai payé pour jouir.

 
Elle partit, en fermant la porte derrière elle.

 
J’étais stupéfaite. Je savais que c’était son intention, mais cette pièce était vraiment humiliante, je me sentais petite. Je savais que je n’étais pas une prostituée, et pourtant… mais l’humiliation redevint bientôt de l’excitation. Oui, j’étais facile. Si facile que j’étais gratuite, même pas une pute à deux sous. Gratuite, pour tous ceux qui entreraient ici. Cette pièce faisait une différence, mais en même temps pas vraiment.

Mais je sentis ma chatte frissonner. J’étais trempée, trempée depuis le matin, si trempée que j’étais épuisée d’être si excitée. Je me rappelai l’autre chose qu’elle avait dite. Qui était ce Paul ? Sans doute un de ceux qui avaient utilisé ma bouche. Et il lui avait parlé de moi. Il lui avait dit que j’étais bonne. J’espérais que mon maître avait été devant l’écran pour entendre cela.

 


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Je ne savais pas combien de temps avait pu passer. Parfois, il y avait une pause entre deux « visites », et parfois les sexes paraissaient s’enchaîner. Je sais que trois hommes se croisèrent, l’un entrant au moment où l’autre sortait, et le troisième arrivant à temps pouvoir voir comment le deuxième me baisait la gorge avec force. Je n’avais pas encore repris ma respiration quand le troisième me posa le gland sur les lèvres.

 
Un moment plus tard, je vis que quelqu’un avait scotché un flyer sur la porte. Je sais que les hommes qui m’avaient utilisée ne m’avaient pas tous montré le flyer. Je ne sais pas s’ils étaient venus parce qu’ils en avaient trouvé un, ou parce qu’on leur avait parlé de l’avaleuse de sperme.

Quant à moi…
J’étais comme folle. Je ne sentais rien d’autre que du sperme, depuis des heures. Les queues se succédaient, les insultes, les pincements et les claques sur mes seins… je voulais jouir !! Je voulais qu’on me prenne, qu’on me doigte, qu’on me lèche, n’importe quoi ! J’avais tellement faim de jouir que ça en faisait mal. Je finissais par sauter au devant des hommes quand ils arrivaient, pour avoir leur queue.

Mon maître avait-il su que je réagirais ainsi ? Que je serais si impatiente de sucer des dizaines d’inconnus, et d’afficher mon impudeur, ma dépravation ? Sans doute. J’ai l’impression qu’il sait tout de ce que j’aime et de ce que j’aimerai. De ce qui m’excitera.

 


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Et ce jour-là, il m’avait montré une facette de moi-même que j’ignorais totalement. Je l’aimais tellement.

Je n’avais pas l’impression de le tromper. Déjà, c’est lui qui m’avait amenée là. Et je ne les considérais pas comme des gens, ces hommes qui se vidaient dans ma bouche ou sur moi. Je n’étais qu’une bouche, et eux que des sexes. Via eux, c’était mon maître qui se servait de moi, c’était évident.

D’une certaine façon, ce n’étaient que des jouets, des accessoires, comme les pinces ou vibromasseurs qu’il utilisait sur moi. Mais vivants, pleins de sperme, qu’ils giclaient sur moi sans relâche.

 
Je me rappelle le dernier. C’était le premier, sans doute rentré du travail. Il eut un sifflement ironique en me voyant.
— Eh bien, Nathalie, on dirait que tu as été bien occupée.

 


— Je ne sais pas, monsieur. J’ai perdu le compte. Sans doute plus d’une vingtaine.
— Une vingtaine ? Tu te rends compte qu’il y a des femmes qui ne couchent pas avec autant d’homme en toute une vie ? Et toi, tu viens de leur vider les couilles en une journée, sans les connaître.
— Oui, monsieur. Je suis une chienne, je porte le collier de mon maître, et il me dresse à cela.
— Il te dresse ? Eh bien jolie chienne, j’ai pensé à toi toute la journée, et j’ai un os à te donner, tiens.

 


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Il me tendit à nouveau sa queue, et prit ma bouche. Je le suçai du mieux que je pus. J’avais mal à la mâchoire et à la langue. J’avais la voix cassée parce que ma gorge était irritée. Mais j’étais si excitée, je lui donnai ma bouche comme je l’avais fait le matin même.

 
Il continua de me parler en activant les hanches.

 
— Marianne m’a dit que tu léchais bien, aussi. Nathalie, tu devrais dire à ton maître que s’il veut te prêter un jour, je connais des gens qui seraient très heureux de t’utiliser.

 
Il retira son membre, et jouit sur mon front. Le sperme coula sur mes paupières et mes joues.

 
— Tu sais quoi ? Je te laisse ma carte.

 
Je sentis quelque chose appuyer sur mon front. Il venait de coller sa carte sur le sperme qu’il avait déposé sur ma peau. Je sentis le carton rester là, tandis que quelques gouttes de sperme s’accumulaient sur ma lèvre.

 


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Un peu après que cet homme était parti, mon maître vint me rejoindre. Il avait quelque chose à la main.
Un miroir carré, qu’il brandit devant moi.

 
— Regarde-toi, Nathalie. Regarde ce qu’ils ont vu, toute la journée.
J’étais… je ne sais pas quoi dire. C’est indescriptible. Les cheveux collés, plaqués à mon front et à mes tempes. Les joues et le menton luisant, blanchâtres, avec des traînées de couleur à cause du maquillage, la carte de visite collée sur le front, un peu de travers. Le sperme imprégnait déjà le carton.

Mais le maquillage… ce rimmel qui restait encore un peu autour de mes yeux, et qui avait coulé… c’est l’image que je garde de la perversion.

 


 

Mes seins et mon ventre étaient dans le même état, et mes bas étaient tachés, auréolés. Et la première pensée qui me vint fut : « Ça aurait pu être pire. J’en ai avalé beaucoup. »

J’étais fascinée par ce reflet. Le sperme accumulé sur les épaules, sur la première côte un peu saillante… Le sperme sur mon cou, retenu par mon collier… Je n’arrivais pas à m’en détourner. C’était à cause de ce collier que j’étais couverte de sperme. C’était l’origine et l’accessoire de ma… de ma liberté, c’était ce qui me permettait d’être moi, telle que je ne m’étais même jamais rêvée.

Je sentis une telle chaleur, un tel amour, pour l’homme qui venait de m’offrir ceci. Il fallait que je lui dise.

 
— C’est vous qui m’avez fait tout cela, maître. Je vous aime.
— Je t’aime, putain. Maintenant, à la maison.

 
Il passa derrière moi, et détacha la barre de mes chevilles.

 
— Nathalie, tu sais combien d’hommes sont venus ici, aujourd’hui ?
— Non, maître. Pas du tout. Beaucoup. Il y en a un qui est revenu.
— Oui, j’ai vu. Tu as dû lui faire bonne impression. Je garde sa carte, on ne sait jamais. Son amie avait l’air charmante. Ramasse ta pièce, au fait. Tu l’as méritée. Mais donc… vingt-huit hommes. Plus une femme. Debout.

 

 


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Je me levai. J’eus beaucoup de mal, après être restée à genoux toute la journée. Mais je n’avais pas mal aux genoux, du tout. Je regardai le coussin, bêtement impressionnée.

Quand je fus debout, mon maître passa la main sur ma chatte. Je glapis, et commençai à remuer les hanches contre sa main.

 
— Ne bouge pas, chienne. (Avec un grognement, je m’arrêtai, tremblante.) Je vois que tu t’es bien amusée. Tu es trempée. J’ai une bonne nouvelle pour toi, dans ce cas.

 
Il attacha ma laisse au collier. Puis glissa un œuf vibrant en moi, et l’alluma. Puis il tira sur ma laisse et me fit sortir de la cave. C’est là que je remarquai qu’il ne m’avait pas apporté de manteau.

 


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— Marche bien droite, regarde les gens qu’on croisera en face, et je t’autoriserai à jouir vite.

 
Dans mon état, je n’avais pas besoin d’autre encouragement. J’obéis, le dos bien droit, nue et couverte de sperme, dont l’odeur me suivait partout. Nous ne croisâmes personne.

Je jouis comme une folle dans l’ascenseur, je tombai accroupie, prise de grands tremblements qui ressemblaient à des sanglots, sans même que mon maître me touche.

 
À la maison, il m’amena sous la douche, et jouit dans mon cul pendant que l’eau chaude emportait le sperme de mon corps et de mes sous-vêtements.

 

 


Par Sadomaso
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