Nous sommes entrés en formation le même jour et nous avons rapidement sympathisés.

Elle a laissée son copain et moi ma femme à la maison et nous nous retrouvons le soir à réviser nos cours dans la chambre de l'un ou de l'autre.

Le problème est  que ma collègue passe son temps à m'allumer et je sens bien que ma libido en prent un sacré coup !

Je n'ai plus qu'une envie : me la taper !

Arrive le moment où je n'ai plus la possibilité de réfréner mes ardeurs sexuelles et c'est à ce moment que Marie fait sa salope en se refusant à mes avances...

Mais je sais qu'elle a envie de moi et lorsque je la dépoitraille, elle ne proteste pas vraiment, seulement pour la forme...

Honnêtement, je n'en tiens pas compte !

Marie cesse petite à petit de pleurnicher sur l'honnêteté due à son copain, la bonne éducation donnée par ses parents, son besoin de fidélité...

J'en profite pour enfoncer mon sexe dans sa bouche.

Alors elle se met à suçer goulûment après que je l'ai forçée un peu...

Et puis est venu le meilleur moment : celui de la niquer enfin.

Je libére son petit cul, arrachant son collant et son slip pour accroitre mon envie de l'enculer...

Mais ce n'est pas encore je moment : je veux attaquer d'abord sa chatte.

Lorsque j'ai bien baisé sa chatte, je m'attaque à son anus tellement serré que je dois forcer le passage comme un sauvage.

Je ramone son cul en ignorant ses nouvelles plaintes et en l'empêchant fermement de se rebeller.

J'aime particulièrement labourer le passage étroit de ce petit cul étroit.

Je prends d'autant plus de plaisir que le fion résiste ostinément à chacun de mes coups de boutoir qui envoie claquer mes couilles contre ses fesses.

Je positionne mieux Marie en la forçant pour aller plus profond encore dans son fondement, pour violer au maximum son intimité de jeune pétasse de femelle.

Je retarde le plus possible la libération de mes couilles pour prendre encore du plaisir et je me soulage dans sa bouche à sa grande stupéfaction.

Lorsqu'elle a bien tout avalé, marie enfuie de sa propre chambre pour se réfugier dans le couloir a demi nue au risque de croiser des voisins.

Au bout d'un quart d'heure elle revient, penaude, les yeux baissés, et me dit d'une petite voix craintive :

- Tu sais. J'ai bien aimé être dominée ainsi. Et j'aimerais qu'on remette ça dès que tu le veux...