Sexe brutal
Chaque jour de nouvelles souffrances pour jouir enfin !
Pour moi une femelle doit avoir des mamelles bien sorties.
Et je ne me contente pas de les caresser ou de les pétrir, leurs gros nichons. Je veux les travailler durement, les maltraiter, les torturer, et les posséder à ma manière sévère et brutale.
C'est génial de voir la salope se tortiller au bout de sa corde en gueulant sa souffrance, en pleurnichant. Elle supplie de ne plus m'acharner sur sa poitrine douloureuse, mais je n'écoute pas. Au contraire, ça me motive !
Voir dans la rue, ou n'importe où d'ailleurs, une naissance de seins par l'échancrure d'un vêtement me donne déjà des envies de m'occuper des gros globes si fragiles que cette vision laisse entrevoir. Et je fait du plat à la fille avec la volonté de la dépoitrailler.
L'idée est de l'amener à se laisser attacher. Lorsqu'elle est prise dans la corde, la femelle peut avoir tous les regrets de s'est laissée prendre, ça ne changera rien. Elle est à moi et elle va devoir subir le pire.
Si elle pouvait renoncer, bonjours la déception pour moi !
Et puis
ensuite, ça va tout seul. La fille n'ose plus rien dire. Elle se laisse faire, même si ça lui coûte !
Là les pinces accrochent bien les tétons et permettent à la chaine de tirer au maximum sur les seins. La fille se demande si sa poitrine ne va pas se déchirer. La souffrance qui irradie ses mamelles lui secoue le ventre de spasmes de douleurs fulgurantes.
Ca me fait terriblement bander et je dois faire des efforts pour ne pas enfiler tout de suite sa chatte qui mouille entre ses cuisses.
Mais non je veux encore profiter d'elle et la faire jouir par les seins
Elle n'ose plus rien dire, et surtout elle n'ose plus bouger pour ne pas accroitre le mal qui la ronge par la chair tendre.
Arrive le moment où j'ai envie de les lui brûler, ses mamelles de salope à l'aide de cire en fusion.
C'est sans doute le moment le clus cruel, le plus angoissant. C'est la torture terrible de ce qui fait sa féminité.
Chaque larme de cire brulante qui martyrise son sein lui arrache des cris de souffrance et la fait se tortiller vainement au bout de sa corde.
Je crois qu'elle va défaillir, tomber dans les vapes. Mais je ne veux pas en tenir compte et arrêter son traitement. Je prends trop mon pied.
Et tant pis pour elle !
Tout à l'heure, je ne la détacherai pas pour la baiser après avoir bien profité d'elle.
Je ne suis pas certain qu'elle accepte de me revoir, encore que...
Mais je m'en trouverai une autre qui subira le même traitement.
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