j'aime bien de temps en temps vous montrer le plaisirs particulier qu'éprouvent les chiennes que je drague en leur imposant mes pratiques sado maso.

Surtout  lorsque vient le moment de l'extase sexuelle après que je les ai travaillé à fond jusqu'à en faire de simple objet sexuel, jusqu'à leur faire accepter l'impensable..

Car c'est bien de la jouissance sexuelle qu'elles éprouvent au moment précis où je les prends en photo.

Si elles gueulent en se tortillant elles mouillent en même temps et leur foutre de femelle coule entre leurs cuisses secouées de spasmes violents .

Et leurs larmes ne sont pas seulement de dégoût d'elles-même, mais aussi du besoin inconscient de subir encore plus de domination de plus en plus crades et méchantes.

Voici Emilie, après lui avoir serré les seins, et l'avoir fouettée, je m'occupe de sa chatte.

Elle adore !

Nadine, j'ai eu envie de percer ses petits seins après les avoir emprisonné dans une corde le temps que je la baise.

 A-t-elle appréciée, je n'en suis pas certain. Mais elle fait toujours la gueule !

Je viens d'en finir avec Martine, une bonne salope celle là, qui ne refuse jamais aucun excès.

Nadia, je l'ai forcée à pisser dans ce pot et à boire son urine. C'est lorsqu'elle a tout vomi que j'ai le plus kiffé...

Concernant Jeanne, je dois dire que j'ai eu une envie totale de lui brûler les endroits les plus intimes.

Cela a commencé par les seins et les tétons

Puis la chatte en écartant bien les lèvres pour que la cire liquide lui brûle le vagin.

Puis l'anus en ouvrant au maximum de petit trou avec les doigts.

Et puis, vous le voyez, sa langue qui articule habituellement tellement de paroles prétentieuses.

Claire est une petite garce qui se croit tout permis, j'ai plaisir à lui frapper sévèrement les seins et l'entre-cuisses avec ce baton. Lorsque je lui défoncerai le minou à grands coups de bite, la douleur qui lui vrillera le sexe jusqu'à l'intérieur du ventre lui fera oublier le plaisir de la baise.

Caroline est une fille sympa et si je la maltraite c'est sans autre raison que l'envie de lui faire du mal tout en la possédant comme une sale pute qu'elle n'est pas.

Ignés, c'est pareil, je la brûle et lui martysise les seins par unique besoin de faire le mal avant de niquer...

Ses toutes petites manelles que je sers comme un fou, le mal intense que j'occasionne entre ses cuisses et entre ses fesses. Elle voudrait crier, elle ne peux qu'implorer du regard un peu de répis. Christiane, tu vas encore déguster, éssaie de te détendre un peu...

Une prochaine fois, je continuerai à vous présenter mes victimes concentantes, enfin a peu prés concentantes...