Sexe Sado Maso

 

 

Je pensais vraiment que cette fille était ma meilleure amie. 

On se fréquente depuis plusieurs mois et jamais je n'aurais crue qu'il y avait en elle cette face cachée sordide et térriblement glauque.

 

C'est après qu'elle m'ait flattée sur ma poitirine que j'ai acceptée de dénuder mes seins chez elle.

Mais après avoir admirée mes seins, elle m'a attachée les poignées dans le dos par surprise. Je ne suis pas parvenue à me défendre, tétanisée par la surprise. 

Son visage a changé soudainement pour montrer toute la cruauté qu'il y a en elle. 

Elle a mordu sauvagement un de mes tétons et a tiré dessus à en allonger démesurément ma petite mamelle qui est devenue terriblement douloureuse.

 


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Ses longs ongles sont devenues des griffes acérées pour meurtrir mes fesses à la peau si fragile.

J'ai hurlée de douleur en sentant les brûlures irradier jusqu'à mon bas ventre.

 


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Cette folle s'est saisie d'un fouet et s'est mise à me frapper sans retenue.

Chaque coup était un supplice à me rendre folle de douleur et de désespoir...

Je n'en pouvais plus de souffrir davantage à chaque impact sur mon corps torturé.

 

 


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L'embrasement de mon cul était tel que la souffrance pointait à la simple approche du fouet, avant même que la lanière ne cogne mes fesses marquées de rouge.

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Et puis, la tortionnaire s'est acharnée sur mon ventre, sans se préoccuper de mes supplications pour qu'elle prenne pitié de moi.

 


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Bien au contraire, elle s'est acharné sur mes seins que je n'aurais pas dû montrer pour ne pas subir le déchainement de brutalités sexuelles de celle que je croyais ma meilleure amie. 

Les pinces entraient dans mes tétons à mesure qu'elle prenait plaisir à tirer du plus qu'elle pouvait.

 


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Et encore, et encore, ces coups vicieux qui n'en finissait plus de m'être assenées sur mes parties féminines les plus intimes et les plus sensibles...

 


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Mais le pire était à venir. 

J'ai dû accepter l'humiliation suprême de me faire violer à l'aide dun engin énorme, tellement gros, tellement long...

J'étais pénétrée sauvagement par derrière sans rien pouvoir faire pour l'empêcher. 

J'ai senti l'énorme pieu forcer le passage de mon sexe et me pilonner avec une incroyable brutalité qui faisait me propulser en avant a chaques coups de boutoir.

 

 


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Cette salope de violeuse m'a affirmé que j'ai pris goût à me faire baiser de force, mais je ne la crois pas.

 


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Si cela avait été le cas, je m'en serais rendue compte et je m'en souviendrais.

 

En me laissant enfin tranquille, nue, épuisée, allongée sans force sur le sol, elle me dit que je suis devenue sa soumise.

Je ne répondis pas pour ne pas subir d'autres sévices. Mais je me dis qu'il n'en est pas question. 

Elle me prit par un bras et m'entraina hors de son appartement, sur le palier.

Elle me jetta mes vêtements à la face et referma sa porte sur elle. 

Je me demandais si je n'aimerais pas qu'elle revienne pour me dominer et me prendre encore. 

Je me rhabillais tant bien que mal et je m'enfuis en pleurant, humiliée, souillée, le corps douloureux, et peut être comblée quant même... 

Aujourd'hui, je sonne à sa porte en vibrant de tout mon corps de désir malsain avec l'espoir qu'elle m'ouvre...

 


Ven 31 mai 2013 Aucun commentaire