Sexe Sado Maso

Aurélie, ma nouvelle copine est vraiment une drôle de femelle.
Depuis que je la connais, je pratique le sexe comme jamais auparavant.
Faut dire qu'elle a des tendances perverses et des fantasmes particulièrement crades.
Regardez ce qu'elle exige de moi aujourd'hui.
Elle m'entraine dans son appartement et m'introduit dans la chambre de sa colocataire.
La jeune femme dort encore et je suis terriblement géné de forcer ainsi son intimité
Aurélie retire une partie de ses vêtements et me dit de faire de même.
Elle monte sur le lit de sa coloc et l'observe longuement, un sourire inquiétant sur ses lèvres
Elle me dit de passer derrière elle, de baisser son slip et de l'enfiler en levrette au dessus de la dormeuse.
Soudain celle-ci se réveille en sursaut du fait des mouvements brusques du lit.
Aurélie l'appelle Nadine, lui intime l'ordre de ne pas bouger et la maintient plaquée contre le matelas pendant que je la baise.
C'est Aurélie qui oblige sa colocataire à me sucer la bite en dirigeant la bouche de la jeune femme contre ma bite, en poussant la tête pour forcer le passage des lèvres fermées.
Nadine montre toute sa panique mais ne peut que s'executer.
Je commence à prendre sérieusement goût à la chose.
C'est moi à présent qui mène le va et vient de ma queue dans la gorge de la jeune femme, pendant qu'Aurélie se fait masser les seins.
C'est incroyable ce qu'Aurélie parvient à imposer.
Elle gifle brutalement de plusieur aller retour Nadine pour que celle-ci accepte de s'empaler par le vagin sur ma queue.
Pendant qu'elle lui doite le cul, je ramone la soumise à grands coups de bite.
La pauvre Nadine hurle qu'elle n'a jamais été sodomisée, qu'elle a peur de trop souffrir. Aurélie, s'en amuse bruyamment.
Moi, je ne me fais pas prier pour enfoncer ma bite dans l'anus dont je dois forcer sèchement l'orifice.
La fille pousse des cris de douleur, pleurniche. Je m'en fous. Je veux la ramoner entre ses fesses.
Pendant que je l'encule, Aurélie sort de la pièce pour revenir avec des cordes et tout un attirail.
Nadine se débat avec l'énergie du désespoir mais ne peut rien contre nous deux.
Elle se retrouve attachée, écartelée, jambes et bras écartés.
Je rentre ma bite entre ses cuisses, dans sa fente trempée de foutre.
En la baisant je l'étouffe pour atténuer ses cris de truie qui va à l'abatoir.
C'est Aurélie qui se marre méchamment.
Ces pointes électriques torturent ses seins, son ventre.
Appliquées sur son clito, elles la rendent folle hystérique de souffrance mélée de plaisir malsain.
On la détache, la petite salope, pour l'obliger à répondre à toutes nos exigences salaces.
Elle ne peut rien refuser.
En a-t-elle encore la volonté ?
Plus tard dans la journée, après que je lui ai bien déchargé dans la chatte, on l'entraine dans la cuisine.
Je l'attache pour pouvoir mieux en disposer à ma guise.
C'est sur la table que je l'encule.
Aurélie lui prépare pendant ce temps un truc qui ne va pas lui plaire !
Harponnée par le cul comme un vulgaire animal !
Aurélie exhibe son drôle de gode et l'attache autour du visage de Nadine.
Celle-ci ne sait quoi faire et attend bêtement.
Aurélie se place sur la table, jambes écartée, cuisses ouverte, les lèvre du vagin entrouvertes, prètes à recevoir.
J'approche le visage de Nadine du sexe d'Aurélie. Je positionne le gode contre l'orifice. J'appuie sur la tête de Nadine pour faire entrer l'engin dans le trou plein de foutre.
j'ordonne à Nadine de mener le va et vient dans le vagin de ma copine,ce qu'elle fait sans discuter, avec ardeur pour ne pas nous mécontenter.
Moi pendant ce temps je la nique à grands coups de reins pour défoncer son trou de salope...
Après qu'elle nous ai donné notre plaisir on la laisse étendue attachée sur le sol de la cuisine, inerte, anéantie, épuisée, ravagée par la honte et la douleur, mais comblée aussi peut être.
Avec ma copine, on mange un morceau, on regarde un truc à la télé et on revient.
La fille cette fois ne cherche même plus à lutter.
Elle fait exactement ce qu'on lui dit, et nous en profitons un maximum !
Je crois bien que je vais emmenager dans cet appartement.
Entre Aurélie la perverse et Nadine la soumise, je crois que je vais bien m'amuser...
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